Quand je t’ai pris de la maison
Comme une pauvre orpheline
Je t’ai promis de te soigner
Pour la balance de la vie, ma chere ‘tite fille
Il y’en a qu’a charé
Il y’en a qu’a bavardé
Pour essayer de casser un ménange
On a aimé aussi longtemps
Tu m’as pris dans les bras,
Comme un pauvre orphelin,
Tu m’as promis de m’soigner,
Jusqu’a jour de ma mort,
ma chère ‘tite fille.
Et y’en a qu’a chialer,
Et y’en a qu’a bavardé
Pour essayer de casser,
Un ménage que moi et toi,
On aime toujours.
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Joe Falcon
C’est (z)au jour d’aujourd’hui, rappelle-toi, cher ‘tit cœur,
Et tout ça tu m’as fait, que y avait si longtemps, jolie fille.
Tu m’as promis de bien me soigner comme l’enfant de la maison,
Et ‘garde encore t’après me faire (z)avec moi, c’est (z)au jour aujourd’hui.
Mais tu m’as pris de la maison comme un pauvre orphelin,
Qu’aurait perdu son papa, sa maman, joli cœur, jolie fille.
Mais quel espoir moi je peux avoir, c’est de te voir me virer le cœur,
Pour t’en aller avec un autre, oui une autre que moi (z)aujourd’hui.
Ca t’as fait (z)aujourd’hui, rappelle-toi, chère ‘tite fille,
Mais c’est (z)une chose dont je pourra, oui jamais (z)oublier toute ma vie.
Tu m’as promis de bien me soigner jusqu’à (z)au jour de la mort,
Et c’est (z)au jour d’aujourd’hui t’es sur le point de me quitter pour t’en aller.
Pour t’en aller, jolie fille avec un autre que moi,
Comment tu crois moi je peux vivre, moi tout seul, oui chère jolie fille.